
Toutes les infos du Pavillon 108 en détails Facebook
Adresse: PAVILLON 108 / 108 RUE LEON JOUHAUX / 47500 FUMEL
prog: Chris: captaineab@gmail.com
Joe: joe@after-before.org

Le pavillon 108, c'est aussi un studio de répétitions équipé à des tarifs défiant toute concurrence, associatif quoi....
3 € de l'heure par musicien ou forfait 10 heures de 30 euro pour l'ensemble du groupe.

SAMEDI 29 AVRIL 2023
PAVILLON 108 6 FUMEL
21H 8/10 euros
MADAM
« Héritières de la hargne féminine bravache et altière des Runaways ou de L7, traversées par le groove musclé de Queens of the Stone Age, les brûlots de Madam sont également portés par des guitares rageuses, une rythmique qui ne fait pas de prisonnier et un chant hiératique et sûr de son fait. Non, les quatre filles de Madam ne font pas dans la dentelle - dans l’arsenic, en revanche. »
GRANDMA’S ASHES
Grandma’s Ashes est un power trio féminin de rock progressif. Depuis bientôt cinq ans, le groupe invite à un voyage musical introspectif et transcendant sur les routes de France. Sur les textes sombres, parfois sarcastiques, les voix des trois musiciennes s’entremêlent. Le chant lead, clair et mélodique se sublime au contact d’une instrumentation lourde et millimétrée. Leur premier EP, “The Fates” sorti en janvier 2021 a témoigné d’une vision singulière d’un rock moderne et narratif.

SAMEDI 25 MARS 2023
PAVILLON 108 – FUMEL
8/10 euros 21h
THE MORLOCKS
À la fois en tant que groupe et en tant qu'individus, the Morlocks ont gagné leurs galons sur le circuit rock and roll. Formé en 1987 à San Diego en Californie, le groupe s’est forgé sa réputation à coup de concerts dévastateurs, de drames et de changements de personnel.
Au cours de ce processus ils ont acquis une originalité sans faille. Là où d'autres auraient baissé les bras depuis longtemps, les Morlocks
continuent.
En 1999, Spin Magazine a publié une histoire inexacte dans laquelle elle déclare la mort de son chanteur charismatique et énergique, Leighton Koizumi. Inutile de dire que Leighton (loin d’être
mort) continue de mener la charge, un devoir qu’il assume depuis le premier album du groupe. Les Morlocks ont continué à se produire et à enregistrer des disques, dont certains ont été mis en
avant dans les films, les émissions de télévision et les jeux vidéo.
Les Morlocks se sont révélés être des guerriers de la route et des survivants, Ils sont placés dans les rangs des groupes de garage punk américains et européens les plus mystérieux, respectés et légendaires.
PAINT FUMES
Avec 3 albums au compteur les PAINT FUMES ont fait leurs armes sur scène et sur la route ! Adeptes du travail dans l'urgence, de l'énergie que dégage la spontanéité , ces mecs consument la vie à pleine vitesse ! What A World leur troisième album sorti sur Get Hip Recordings en 2019 avait suscité l'excitation des fans de Marc Bolan aux US. Leur Garage punk aux mélodies qui vous restent dans la tête et vous empêchent de rester sur place sans rien faire, sera une fois de plus la recette miracle pour ce nouvel album qui sortira en janvier 2023 sur Bachelor Records en Autriche.

SAMEDI 25 FEVRIER
PAF 8/10 euros 21h
RED SUN ATACAMA
Depuis 2015, le trio Parisien Red Sun Atacama prodigue sa musique à forte teneur rythmique et mélodique, le pied rivé à l’étrier, appuyant sur l’accélérateur pour une embardée vers des contrées rougeoyantes que « Licancabur » leur premier album avait auguré en 2018.
DARWIN leur second album vient de sortir sur le label Bordelais de Mars Red Sky. Le rythme est sans doute la qualité majeure du groupe. De bout en bout Darwin nous fait frôler l’arrêt cardiaque en explosant le métronome. Lorsque le tempo se calme comme avec l’intro et le pont d’ « Antares » ou de « Ribbons », c’est toujours pour mieux reprendre son souffle et remettre le pied dedans ensuite, kicks de batterie à toute blinde.
La cohésion entre les musiciens transpire sur tous les titres. Les trois gars s’emboitent le pas à merveille et se regroupent pile quand il faut c’est un bonheur de les entendre monter en ligne pour semer la bagarre tout au long de cette galette.
Red Sun Atacama ne ment pas, c’est un pur groupe de stoner qui joue vrai et ils réchauffent les os au soleil brûlant de leur musique. Ils livrent à nouveau avec Darwin un album puissant et efficace qu’il faudra aller recevoir en live avec un protège dents. Un album qui a tenu ses promesses et ravira tous les fans de Kyuss, Queens of the stone age, Fu Manchu....
ANT NEBULÄ
Sleeppers faisait partie de ces fers de lance du noise rock hexagonal avec Condense, Prohibition, Portobello Bones, Bästard ou encore Doppler. Seulement, après 30 ans de bons et loyaux services, les Bordelais se sont subitement séparés fin 2019. Assez vite, Mammouth – leur guitariste-chanteur – a décidé de poursuivre de son côté ses explorations sonores.
Deux ans plus tard débarque donc le premier EP de ce tout nouveau trio dénommé Ant Nebulä, chez qui on retrouve d’emblée la patte de l’ex-Sleeppers : riffs de guitares corrosifs et mélodies dissonantes, changements de rythme, purs soli noise rock, chant généralement éraillé à la Chris Spencer (Unsane, Human Impact).
On retrouve aussi les penchants électroniques de Mammouth au travers de samples savamment intégrés çà et là, quand, sur Brainwashers, le combo mâtine son noise rock d’indus métal et de punk rock.
Pour un premier opus, Ant Nebulä a mis la barre très haut, aussi bien en termes de compositions que de production et risque fort de ravir aussi bien les fans de Sleeppers restés sur leur faim, que tout autre amateur de noise rock.

SAMEDI 21 JANVIER 2023
FUMEL – PAVILLON 108
8€ / gratuit pour les adhérents 2023 21h
NIGHTWATCHERS
Formé à Toulouse en 2016, et auteur de deux Eps dès ses premiers mois d’existence, Nightwatchers aura attendu trois ans pour sortir son premier album La Paix ou le Sable.
Très vite, le groupe s’en est allé le défendre sur les routes d’Europe, profitant de la moindre occasion pour présenter sa musique, plus précisément sa vision du punk rock, au-delà de nos
frontières.
C’est dans cette même lignée que le quatuor s’apprête à signer Common Crusades, une nouvelle salve punk et politiquement engagée, composée durant la pandémie de Covid. L’album aligne 10
titres mélodiques et remontés à bloc, certains trahissant des influences post-punk plutôt discrètes jusque-là, et dont les paroles sont tirées d’écrits de personnalités ayant joué un rôle dans le
processus de colonialisme exercé par la France, et qui continue d’affecter le pays aujourd’hui
FAST LANE
Fast Lane fait du skatepunk avec des morceaux rapides et mélodiques !
Leur premier album sort en 2020, les titres s’enchainent à 200 à l’heure et ne sont pas sans nous rappeler No Fun At all, NOFX et consorts.
Le groupe gagne en fraîcheur et en assurance tout en gardant son efficacité, ils nous présenteront leur nouvel album dont la sortie est prévue en 2023 !
VENDREDI 09 DECEMBRE 2022
« HUMAINS »
Centre Culturel Paul Mauvezin
21h – 10 euros
D’après l’œuvre de Baudoin et Troubs « Humains, la Roya est un fleuve »
Dans une vallée entre la France et l’Italie coule un fleuve d’humanité
« Humains » est le troisième BD-spectacle du collectif Improjection.
Après «Putain d’usine» et «Les carnets de Cerise», le collectif choisit une nouvelle fois de relayer dans leur propre paysage, scène et écran, la parole de celles et ceux qui, d’habitude, ne l’ont pas.
Deux directions artistiques :
- Rester fidèle à l’oeuvre graphique originale dans la projection filmique, plongée dans l’univers visuel
- Nouveaux choix et réinvention par la mise en scène théâtrale et la composition musicale.
Toutes les matières dialoguent pour converger ou nourrir les contrepoints, se mettre en lumière, et se renforcer mutuellement. Une tension se crée sur le plateau, permettant de dépasser le cadre initial.
Les membres d’Improjection se nourrissent d’une expérience commune bien ancrée en improvisation composée, en BD-concerts, autant que d’esthétiques artistiques très variées.
Leur rencontre exacerbe une écoute électrique, une recherche de moyens inédits pour métamorphoser rage et frustration en questionnement commun, stimulant le passage à l’acte.
Le « sujet sensible » devenu spectacle vivant, permet de réinterroger en profondeur ce qui peut nous
mobiliser ensemble, ce qui communique d’humanité, et fait sens, de relais en relais.
Tous les interprètes (les musiciens, le comédien et la danseuse) prennent ainsi la parole, incarnent les témoignages et prennent part à l'action comme ces citoyens qui sont devenus les acteurs de leur destin.
Ce plateau d’«Humains» devient alors le lieu où l'on transgresse les frontières, un lieu d'échanges, une interface entre pays… à l’image du décloisonnement des disciplines artistiques où musique, images, textes et mouvement viennent ici donner une dimension universelle et vivante, aux témoignages.


SAMEDI 03 DECEMBRE
PAVILLON 108 – FUMEL
12-14 euros 21h
BLACK BOMB A (75)
Musique mêlant la rébellion du punk, l'énergie du hardcore et la puissance du thrash.
Si ce style est l'apanage de plusieurs formations américaines célèbres, il a un seul et unique représentant en France depuis 23 ans : BLACK BOMB A.
Avec à son actif 7 albums, 1 EP et 2 DVDs live, la formation a su bâtir une carrière en constante progression autour de son style indémodable. La recette est d'une efficacité absolue : une section rythmique puissante et groovy, des riffs à décorner les bœufs, le tout chapeauté par deux chants étonnants : tandis que l'un racle les tréfonds des abysses, l'autre frôle la crise d'hystérie.
Black Bomb A, ce sont aussi plus de 1000 concerts (dont deux prestations au Hellfest en 2012 et 2018) qui ont laissé exsangues des fans toujours plus nombreux, prêts à manger dans la main du
groupe. Une véritable expérience live tant le prodigieux échange d'énergie entre BBA et son public est monstrueusement communicatif.
GET REAL (81)
Get Real voit le jour en septembre 2018, sur les cendres de deux groupes tarnais aux univers bien distincts : Stride against lies (metal hardcore) et Billy Hornett (rockabilly 50’s). Un mélange peu commun pour un résultat explosif ! Avec des riffs puissants et des sonorités métalliques lourdes et tranchantes, Get Real propose un hardcore flambant neuf, tout en conservant une certaine finesse de composition. Du hardcore sans prise de tête, qui cherche avant tout à faire du live et se faire plaisir.
Le premier EP de Get Real est sorti le 21 mars 2020, il regroupe quatre titres qui s’inscrivent dans la pure lignée du hardcore old-school. L’ensemble est lourd et puissant, entrecoupé de breaks efficaces, de riffs acérés et de refrains virils repris en chœur par le groupe. Au milieu de ce tsunami de violence, on apprécie les passages mélodiques à la guitare bien sentis. Le chant aiguë et survolté de Polo prend immédiatement aux tripes pour ne relâcher sa pression qu’une fois le morceau terminé.
Get Real est un condensé de hardcore propre, tranchant et énergique, qui rappelle la scène NYHC à la Madball ou Hatebreed. De quoi laisser présager de belles choses pour l’avenir.

SAMEDI 19 NOVEMBRE 2022
PAVILLON 108 - FUMEL
10/12 euros Ouverture des portes 21h
BURNING HEADS
Nés à Orléans dans les années 80, toujours actifs après presque 40 années de péripéties romanesques, les Burning Heads ont traversé les époques, contourné les modes et transcendé les styles – de
leur héritage oi! et rock australien au punk hardcore en passant par le dub et le reggae !
Ils sont devenus l’un des groupes les plus endurants, actifs et respectés du microcosme alternatif, tournée après tournée, album après album, signant aussi bien avec une major (Yelen,
filiale de Sony) qu’avec des labels indépendants aussi emblématiques que PIAS, Epitaph ou Victory.
Leur longue vie fut riches de rapports humains sincères et parfois complexes. Une vie qu’ils firent le choix de traverser dans le confort des larges fringues de
skate et dans l’inconfort de l’intégrité assumée. Une vie assurément marquée au sceau du mantra sacré : Fun ! Passion ! Energie !
JUICY’S (46)
JUICY’S c’est une musique énergique et sincère. Un rock simple et efficace qui respecte et se nourrit de différentes époques : rock’n’roll, blues, garage, stoner, punk…
Un duo lotois batterie/guitare, une formation exigeante toujours sur le fil pour des prestations live sans triche ni faux semblants. Des riffs percutants et un son déterminé !

SAMEDI 05 NOVEMBRE
Pavillon 108 – Fumel (47)
CAS
Release Party - sorti de l’album « Ecriture Nocturne »
Entrée Gratuite – 20h30
Depuis les premières étincelles créées dans sa chambre il y a une petite année, ce jeune rappeur fumélois n'a cessé d'évoluer et de croire en son projet.
Une plume habile sur des ambiances singulières. La force tranquille d'un adolescent qui parcourt et dépeint sa vie avec ses couleurs, ses aléas, ses réalités et les émotions qu'elle engendre…
Après deux singles “J'suis ailleurs” et “Dernière bougie” sortis au printemps et été 2022 et disponibles sur le web, octobre 2022 signe la sortie de son premier album “Ecriture Nocturne”.

SAMEDI 22 OCTOBRE 2022
PAVILLON 108 - FUMEL
8/10 euros Ouverture des portes 21h
gratuit -18
ans
DOPPLER
DOPPLeR est un groupe de post hardcore/noise formé en 1997 à Solaize dans la banlieue sud de Lyon par le batteur Yann Coste, le bassiste/chanteur Xavier Amado et le guitariste Yoann Brière.
Dignes descendant de Hint, Bastard ou encore Jesus Lizard, Doppler "joue une musique que personne ne danse"
Le groupe opère dans un style communément appelé "noise rock", additionné à des adjectifs tels que hypnotique, complexe, furieux, intense, frénétique, primitif, torturé, sauvage, assommant, froid, destructuré ou bien encore chaotique.
Avec des dizaines de concerts, deux tournées en Europe, DOPPLeR a enregistré plusieurs disques sur "SK Records" dont les deux albums devenus des références en France, « Si Nihil Aliud » en février 2004 et « Songs to Defy » en 2008.
Le groupe DOPPLeR se reforme pour « fêter les dix ans de sa mort », pour être sûr de ne pas oublier qu’ils ont aussi beaucoup d’humour (noir). A cette occasion, le label Bigoût Records va faire re-presser en vinyl, 300 exemplaires de leur premier album « Si nihil aliud ».
SALO
SALO, c'est le trio lyonnais des bas-fonds, la salissure satisfaisante au coin des lèvres et le regard vitreux de trop de nuits sans sommeil.
Oscillant entre les fulgurances d'un garage noise rock de grande classe et d’une attitude punk viscérale, SALO pose, avec une certaine classe et une grande réussite, une belle pierre dans le jardin des musiques à fleur de peau avec son album « From Melmac With Hate ».
Au grand jeu des références, pourtant largement digérées, on pense à la verve de Thee Oh Sees, à la hargne de Metz et à la classe de comptoir de The Fall.

SAMEDI 17 SEPTEMBRE 2022
PAVILLON 108 – FUMEL
8/10 euros Ouverture des portes 21h
gratuit -18ans
FABULOUS SHEEP (34)
Sur fond de rock tendu et nerveux, les enfants terribles de Fabulous Sheep jouent avec urgence, et chantent le désenchantement d’une jeunesse qui a pourtant encore des idéaux. Originaires de Béziers, la ville laissée pour compte et les tensions politiques ont indirectement inspiré le groupe qui combat ces thèmes en chanson, et livre sa lutte artistique entre énergie positive et colère froide.
Des refrains scandés en choeurs, des mélodies pop incandescentes à 3 accords, et une production comme du punk de stade mais enregistré dans un garage : Fabulous Sheep illustre leur style avec un premier EP abrasif " Kids Are Back", ainsi qu'un album "Fabulous Sheep" sorti en 2019 en totale auto-production.
Avec près de 300 concerts dans l’hexagone et en Europe, leurs prestations bouillantes et leur rage viscérale se font remarquer aussi bien dans les petits clubs que dans certains des plus grands festivals, et rapidement le groupe se forge une réputation scénique implacable.
Fabulous Sheep sortira en 2022 un nouvel album explicitement intitulé "Social Violence", produit par le groupe, ainsi que Jim Diamond (producteur américain de The Whites Stripes et The Sonics). Un manifeste rock d'une dizaine de chansons, comme des photographies du monde occidental actuel : Smartphones et déconnexion totale de la réalité avec "Satellite", La joie insouciante du tourisme à la mer et les réfugiés qui la traversent " Mediterannean Cemetery", le brainwashing télévisé dans "Parasite", ou encore les schémas d'une vie, et d'une ville, qui nous aspire, et nous dévore de l'intérieur dans "The Future is Unwritten »....
HOLY FAKE NEWS (33)
Provenant des contrées bordelaises, Holy Fake News dont les membres sont issus des groupes Tomy, SWY, Spudgun, présente un premier album de très grande qualité. Comment pourrait-il en être autrement quand on sait que le groupe cite parmi ses multiples influences Burning Heads, Burning Airlines et Hot Water Music.
Faire preuve d’autant de sagesse et d’identité grâce à un premier essai s’affirme comme un pur miracle, une déferlante sonore dont les figures acrobatiques nous laissent sans voix ni contestation possible.
L'indie noisy rock proposé par Holy Fake News est imparable, tant le groupe maîtrise à la perfection l'art de composer et d'exécuter des tubes en puissance. Dès "Mr Perfect", premier titre faisant immédiatement penser à Not Scientists dans les sonorités et la qualité de composition, le ton est donné : les mélodies sont parfaites, l'énergie déployée est réelle et le coup de cœur est assuré. Alternant ambiances feutrées et passages énergiques, la mise en avant du basse-batterie par le power trio est également un réel atout de ce disque.
Quant aux voix, c'est juste un régal !

SAMEDI 11 JUIN
FÊTE DE LA MUSIQUE, un peu avant l'heure, mais Fête de la musique quand même!!
à partir de 19h30 au Pavillon 108 - gratuit
HEAVY WEATHER
MAURIS
SUPERNORMAL
ROSE BETON
LA GUEPE ECRASEE

PAVILLON 108 - FUMEL
SAMEDI 14 MAI 2022
DIRTY FONZY (82)
Elevés au son de groupes comme RANCID, SOCIAL DISTORSION, DROPKICK MURPHYS, THE CLASH, les RAMONES mais aussi au hardcore U.S et au punk français DES SHERIFF, les DIRTY FONZY ont développé leur propre style basé sur de grosses guitares et des refrains entêtants à reprendre en chœurs dans la joie et le pogo, le poing levé et une bière dans l’autre main !
THE DEAD KRAZUKIES (40)
Avec The Dead Krazukies, on va partir sur un punk rock de type californien, avec un nom bien cool qui fait référence au syndicalisme, à la résistance, et au punk hardcore engagé. Ils nous viennent du Sud-Ouest, et plus précisément de la surf-city Hossegor.
Niveau musique c’est plus que qualitatif. On y trouve pêle-mêle du Propagandhi, du Bad Religion, du Good Riddance, du Pennywise, voir même du Distillers avec le chant féminin de Maider.
BEN & FIST (31)
De la fête et des défaites, voilà comment résumer au mieux Ben & Fist.
Ju (batterie-choeur), Mott (guitare-choeur) et Fabulle (basse-chant) font dans le punk-rock sympa, à base de barbecue et de bon vin, alternant blagues potaches et fatalisme enjoué. Les influences
outre-Atlantique sont de mises, NOFX en tête, les BPM sont toujours à balle appuyant le plaisir d’être ensemble.

SAMEDI 23 AVRIL 2022
20h30 7/10 euros
STRUCTURES
Rage, douleurs physiques et émotions fortes composent l’univers nerveusement mélancolique dans lequel nous plongent les 4 membres de Structures. Leur Rough Wave, post punk est un véritable
mouvement thérapeutique, une course sonique emplie de passion et de fureur offerte dans une transmission sans détours. Une voix autoritaire, des lignes de basse puissantes et des rythmes nerveux,
Structures dégage cette ambiance noire et addictive qui n’est pas sans rappeler These New Puritans, Total Control, Agent Side Grinder ou encore The Horrors.
Après avoir sorti « Long Life », leur 1er EP abrasif en Octobre 2018, et fait sensation au dernier Printemps de Bourges, les kids de STRUCTURES préparent la sortie de leur 1er album.
Ils passeront par Fumel pour préparer leur tournée d’été, Festival Art Rock - St Brieuc, Solidays - Paris, Les Vieilles Charrues - Carhaix….
HOPE IS A JOKE
L’efficacité est le maître mot de la musique d'Hope is a joke et bien qu'elle s'aventure parfois vers des mesures asymétriques et des arpèges aux nuances apaisées, les répits ne sont que de courtes durées et les charges soniques nous rappellent que le groupe vise avant tout la puissance chère à ses influences parmi lesquelles sont Refused, Queens of the stone Age, Fu manchu.
Comme pour le choix du nom "Hope is a Joke", l'ironie domine dans les textes, ceux-ci méprisant successivement le besoin de sécurité, les pratiques illusoires de développement personnel, vénérant la quarantaine et ses infirmières inaccessibles, vantant la schizophrénie contemporaine, le besoin de servilité....
A travers un son massif et un second degré faussement désabusé, Hope is a Joke n'a pour objectif que de transmettre l'envie viscéralement punk d'en découdre, que ce soit sur scène ou sur disque....

LES LULLIES
Fini les conneries, voilà Les Lullies ! Garage punk bien sur !!! Rock’n’roll simple, rapide, brut, membres crétins à n’en plus pouvoir…
Formé à Montpellier en juin 2016, un peu par hasard, par une bande de potes de longue date, dont certains s’étaient déjà illustrés dans d’autres formations, Les Lullies s’inscrivent dans une
longue lignée de groupes et artistes de rock’n’roll, de Little Richard à Jay Retard, avec un credo simple : faire du rock’n’roll, monter dans le camion, faire des bornes, se frotter à un maximum
de scènes et de public.
Le premier EP du groupe est sorti début février 2017 sur le label barcelonais Discos Meteoro et est épuisé depuis quelque temps déjà. Le second, enregistré par Lo Spider, est sorti le 3 novembre
2017 chez Slovenly Recordings (USA) et est presque épuisé lui aussi. Le premier LP, toujours enregistré et mixé par Lo Spider à Swampland (Toulouse) et masterisé par Tim Warren (Crypt Records),
sort chez Slovenly Recordings (USA) le 5 octobre 2018..
Mais ce sont leurs concerts qui les ont fait remarquer, sauvages, énergiques, enthousiastes, violents.
Le groupe a tourné en France, Belgique, Allemagne, Hollande, Espagne, Italie, Portugal, Angleterre, Etats Unis, Canada, à l’affiche de festivals comme le Funtastic Dracula Carnival (ES), le
Fuzzville (ES), le Debauch-a-Reno (USA), le Bule Bule Toga (ES), le This is not a Love Song Festival (FR), le Binic Folk Blues Festival (FR), le Get Lost Fest (DE) et d’autres encore. Pas de
repos, Les Lullies passent le plus clair de leur temps sur la route.
CLAVICULE
Les rennais de Clavicule déversent un rock puissant et diversifié, inspiré par la scène garage contemporaine auquel s’ajoutent de larges influences allant du punk au psyché, en passant par le surf ou le grunge.
Après avoir sorti un premier EP autoproduit en juin 2019, le groupe s’est fait remarquer par les labels bretons Beast Records et Open Up and Bleed Records.
En juin 2020 est sorti le premier album du groupe, GARAGE IS DEAD, opus de 10 titres enregistré par Dimitri Dupire et unanimement salué par la critique (Rock’n’folk, Rolling Stone, New Noise, Mowno, Abus Dangeureux, Rumore…).
Sur scène, c’est un déluge de fuzz allié à la fougue de la section rythmique et à des mélodies accrocheuses. Le groupe livre un set intense et sans répit, à la fois explosif et mélodique.

7 WEEKS
7 Weeks a commencé à écrire des morceaux à l’époque de Myspace, quand il était exotique de traiter de stoner tout groupe qui faisait du rock lourd un tant soit peu mélodique.
Le groupe de Limoges s’est formé seul sur la route. Cette quête les a menés partout en Europe et au Royaume Uni, jouant devant des publics très différents, du Rock for People au Hellfest.
En 2011, déjà bien rodés et identifiés comme un groupe de rock très organique, ils surprennent tout le monde avec leur 2eme album en intégrant des sonorités synthétiques et des climats glaçants pour leur ciné-concert sur le film « Dead of Night ».
Ce changement de cap façonne toute la suite: une recherche sonore qui ne peut se renouveler qu’en ouvrant à chaque album une nouvelle porte, n’hésitant jamais à prendre des risques. Assumant
leurs choix, de chaque difficulté ils ont tiré parti en étant leur propre producteur. A l’image du Bison de l’artwork, ils ont même failli disparaître, mais jamais cela n’a entaché leur
créativité, au contraire.
Leur dernier album « Sisyphus » (janvier 2020) est le résultat de ces années de persévérance : un rock racé, une pierre qu’ils ont amenée tout en haut comme dans le Sisyphe de
Camus, pour mieux la regarder retomber … et la remonter.
Les neufs titres de l’album réussissent la prouesse de lui donner de la cohérence tout en explorant des chemins musicaux très différents. 7 Weeks marie toujours aussi astucieusement les courants dont il s’inspire et il est sympathique d’écouter un « Insomniac » rocky/grunge, un « Idols » grunge groovy bardé de ghost notes de batterie ou bien encore le psyché blues « Sisyphus » qui donne des frissons. Le line-up composé de Julien Bernard (chant, guitare, basse), Jérémy Cantin-Gaucher (batterie), PH Marin (clavier, guitare) et Fred Mariolle (guitare) est vraiment d’enfer et la production toute en puissance restitue cependant parfaitement la contribution de chacun. Ainsi « Breathe », le morceau le plus entraînant de l’album, repose sur une basse ondoyante mixée très en avant, ce qui n’est pas pour me déplaire et « Idols » lui fait également la part belle en osmose avec des riffs de guitare fuzzés. On ressortira également le single « Gone » très inspiré du « Love Hate Love » d’Alice In Chains, l’étonnant blues rock « The Crying River » construit autour d’accents de puissants bottleneck un peu façon Jimmy Page. Le groupe cultive-t-il aussi une fibre progressive insoupçonnée ? On peut le penser à l’écoute de l’ultime « 667-Off ». Sa première partie est un R’n’R endiablé devant déchirer sur scène avant de se muer en un mid tempo ambitieux pour reprendre du rythme et de la puissance conduisant à un final explosif.
*ROLLING STONE : « un des albums rock les plus fascinants de ce début d’année »
*FRANCE INFO : « Les rockeurs de 7 Weeks nous offrent un nouvel ovni musical »
*ROCKHARD : « Un disque qui marquera »
*GUITAR PART : « Magique tout simplement »
*METALOBS’ : « un grand album (…) le songwritting à son summum»
*MYROCK : « un disque racé de rock pur jus et percutant »
ZOË - annulé pour raisons personnelle
Remplacé par GALVA (24)
Depuis 2013 en formation complète, ce combo périgourdin propose un univers orienté heavy rock et métal mais s’autorise également des influences noise, stoner ou encore punk rock.
Affirmant son engagement à travers ses textes, Galva se veut communicatif, humain et rock’n roll !
La musique du groupe est carrée homogène, conquérante et calibrée pour la scène. Leurs Influences multiples vont de Clutch, Mastodon, Kyuss, Faith no More en passant par Red Fang, Led Zeppelin, AC/DC ou encore Black Sabbath et Slayer...

SAMEDI 12 FEVRIER 2022
HIDE
MOLOCH/MONOLYTH
7/10 euros 20h30
HIDE
HIDE est le projet musical d’Alban, chanteur multi-instrumentiste membre des Limiñanas dans la version live du groupe depuis la sortie de l’album « Malamore » en 2016. Il y joue du clavier, de la guitare et du ukulélé, tout en y faisant les chœurs. Il fait également partie de l’Épée depuis 2019, projet où l’on retrouve également les Limiñanas accompagnés d’Anton Newcbombe du Brian Jonestown Massacre et Emmanuelle Seigner pour une version augmentée à neuf musiciens.
C’est une fois l’enchaînement des concerts terminés en 2019 et avec un confinement imposé en 2020 que naturellement, “Mono & Decrease” est né dans un petit studio et que HIDE est sorti de ses compositions en attente pour enfin s’affirmer et devenir concret. Mono pour le son, car il a été enregistré en monophonique pour coller à l’ambiance de claustration, et Decrease pour le questionnement et la réflexion sur la période actuelle que nous traversons. Le besoin de décroissance, le retour aux choses essentielles, la diminution de notre espace vital et de nos libertés, etc.
Ne se fermant aucune barrière, l’éclectisme serait le terme qui correspondrait le mieux à la musique de HIDE tant elle peut s’apparenter à plusieurs styles et influences différentes ; s’inscrivant dans une orchestration entre le rock et la folk, tout en créant des atmosphères sonores uniques et progressives pour chaque titre. Un folk singer multi casquettes, interprète protéiforme de poèmes intrusifs, capable de nous emmener un peu là où il veut, avec une maîtrise des différents registres pour nous faire vivre les plus doux des moments comme les plus sauvages.
MOLOCH/MONOLYTH
Malgré son jeune âge, Michael Martin connait désormais les moindres recoins du rock. Jugez plutôt : après avoir ouvert son spectre il y a quelques années en accompagnant les accords folk de I Am Stramgram, puis être passé à l’opposé au souffle des déflagrations électriques de son duo Equipe de Foot, le bordelais offre un peu de liant à son oeuvre en dévoilant Moloch / Monolyth, trait d’union pop au sein duquel il excelle. De là à dire que c’est dans le ventre mou que le bonhomme est le plus à l’aise, il n’y aurait presque qu’un pas.
Il faut remonter quelques années en arrière pour assister à la genèse du projet. Là, désireux de se montrer plus intime au travers de sa musique, il laisse parler ses influences folk (Elliott Smith et Sufjan Stevens en tête), constitue progressivement sa garde rapprochée, et laisse Moloch / Monolyth voguer au gré des envies, des inspirations, des besoins, et des émotions. En résulte un premier Ep, quelques concerts marquants, histoire d’accumuler les expériences et se présenter plus solide que jamais au moment de graver un premier album pour l’éternité.
Naive Stories se tient maintenant devant nous, droit comme un I, fier de lui, conscient de ses forces, surement de ses faiblesses aussi. Une chose est sûre pourtant : ces dernières ne se font jamais entendre. Car entre sensibilités acoustiques originelles (Living With My Ghosts, Farewell Full Moon), mélodies affûtées jusqu’à l’évidence, et poussées vigoureuses (Goosebumps) héritées d’influences venues s’immiscer en cours de route (Polyphonic Spree, voire le Arcade Fire des débuts), Moloch / Monolyth signe ici une majorité de tubes dont même le temps n’aura pas la peau.
Débordant d’idées et de fraicheur, ce premier album vient ainsi magnifiquement illuminer et défendre les couleurs d’une scène pop française anglophone biberonnée au lait des années 90/2000, qui n’a toujours pas troqué ses guitares pour des synthés, ni sa barbe de trois jours pour des moustaches.
Past Shows
2021
The Twin Souls, Johnny Mafia, Sex Pistils, Daguerre, Crazy Dolls & the Bollocks, Ausgang, HIC SVNT Dracones, Octopus King, Purrs, Païaka, WAT, Skank'Inity, Mad Foxes
2020
Astaffort Mods, Juicy's, We Hate You Please Die, Sweat Like An APE, La Guêpe Ecrasée, Bison Bisou, Siz, La streetarterie (Scaner, Focks, Aure Grfk, Cubi, YoErnest...)
2019
Datcha Mandala, Lysistrata, Juicy's, Zenzile, Weeding dub, Cannibales, Arno de Cea, Capsula, Sheriff Mouloud y el Zorro Loco, Slift, Go!zilla, Flox, La Nuit des Morts Vivants, John, Done, the Chainsaw Motel, Brutus, Miët, Ingrina, Rendez-Vous, Charly Fiasco, Wake the Dead, Dj Licht und Blindheit...
2018
Red Eye Ball, Sheriff Mouloud y el Zorro Loco, Walk in the Wood, Libido Fuzz, Shut up Twiste again, Dead Krazukies, Booze Brothers, Les Naufragés, Red Money, Decibelles, Equipe de Foot, Alam, Striklly Band, RBH Crew, The Mochines, Rocket Juice, Escobar, They will destroy your Ears, Y?, Mellanoisescape, Lane, Nebulous, No Glory, Nesseria, Laissez passer l'Art, The Dizzy Brains, Make-Overs...
2017
Escobar, Texas Texas, King Kong Blues, Fuzzy Vox, Slift, Naya, H Burns, Wat, RBH, Rose Béton, La Guêpe Ecrasée, Sex Pistils, The Sunvizors, Païaka, Rocky Grenadine picture show, Lysistrata, Dot Legacy, Lords of Altamont, Sate, Badass Mother Fuzzers, Johnny Mafia, The Decline!, Rocket Juice, Maurice Coocker...
2016
Fabulous Sheep, Sweat Like an APE, Cobra, Le Bal des Enragés, Not Scientists, Michel Cloup Duo, Hiroshima Mon Amour, Les Sheriff, Kaviar Special, The Lookers, Washington Dead Cats, Crazy Dolls & the Bollocks, Datcha Mandala, Cockpit, Robert Openightmare, Rose Beton, Kylt, Galva, Capsula, Wailing Trees, RBH...
2015
Soviet Soviet, Lindbergh, The Sexopath, Gavlyn, Oh Blimey, Lords of Altamont, Critical Project, Olivier Depardon, Hiroshima Mon Amour, Serpettes, La Guêpe Ecrasés, Dirty Fonzy, Détritus & the Destroyers, Positive Roots Band, La Tchutchuka, Not scientists, Forest pookie, Peter Black, Alpaga, I Me Mine, Ropoporose, Peter Kernel, Magneto, Cdt Cousteau, Ultra Démon, The K, Narco Terror
2014
Mü, Les Naufragés, La Guêpe écrasée, Hint, Basement, Capsula, Les Wampas, Burning Heads, Les Sales Majestes, The Lanskies, Bleech (uk), Jayanah, Nosybe, Justine, the Decline, Sleep/walk, Vibronics, Weeding Dub, Noods, Extra Dry, Billy Hornet, Thelma on Fire...
2013
The Patriotic Sunday, Cats on trees, Reversatile, Da Krew Labo, Pharphéonix, B-side, SWY, Gravity, The Shelters, The Pelvis Douglas, The Booze, La Guêpe Ecrasée, Sleeppers, Pylone, Aspic, D911, Les Sex Pistils, Paganella, Wombo Orchestra, Los Explosivos (Mexique), Willis Drummond, Berri Txarrak, Cannibal Mosquitos, The Irradiates...
2012
7 Weeks, Dub Trio (USA), Twin Twin, Bitterchupchupwelose, Microfilm, Electric Electric, Sleeppers, Basement, The Banyans, Webcam Hi-Fi, La Colonie de Vacances, Burning Heads, The Rebel Assholes, The Wackids, Zion Train (UK), Zenzile, The Hyenes, Dirty Fonzy, Goat River, Robot Orchestra, Nosybe, Poutre, Idem, Pord, Cafe Flesh, les Louise Mitchels, Mastervoice...
2011
The Toasters (USA), Boom Babylon, Colocks, Shaman Culture, Hiroshima mon Amour, Chokebore (USA), Mc Noodles, Salut les Anges, Brassens not dead, CharlyFiasco, Hard'ons (Australie), Gerda (Italie), Rodeo Idiot Engine, Double Nelson, Master Voice, L'Enfance Rouge, Da Krew, Fumuj, Kunamaka, Sna Fu, Slogan....
2010
Carusella (Israël), Openightmare, Antillectual (Pays Bas), Flying Donuts, Hellbats, Sex and Dollars, Lazy guns Brisky Japon), Human Toys, Parabellum, Detritus n destroyers, Bitterchupchupwelose, Lexicon (USA), Khod Breaker, Rageous Gratoons, Bulbul (Autriche), Uncomonmenfrommars, Grosso Gadgeto, Josh, Good Bye Diana, Papier Tigre...
2009
Novartone, Charly Fiasco, 1st Part, Hiroshima Mon Amour, Myguk, Vibronics (UK), Uptown Rebel, Carusella (Israël), The Hop La, Strychnine, Martin et Dubois, Aeroflot, The sexuals, Danakil, Highlights, Radio Bomb, Dupek, Randy Mandys, Dj Moule, Redbong, Psycho Mutants (Hongrie), Marvin...





